tourterelle turque couleur atypique

Des sujets sauvages ? il y en a un qui est bagué

Bien vu Florence !

ce sont des vieux amis...!!

soit ils sont passés dans une volière, à un moment, pour une photo, une nichée... puis relâchés près baguage, pour les identifier...
soit ils ont été bagués dans un nid libre au jardin !

Je les revois plus facilement l'hiver, quand je nourris les passereaux... ils attendent la chute des graines triées pour se nourrir au second service !


Marc

Ca à l'air d'être une bague fermée, tu n'as pas pu voir un n° ?
noire : ce serait un oiseau de 2007, à moins que ce soit un restant de bague non-utilisé....

Bonjour,
voilà encore un autre sujet "charbonnier"... pris en photo à l'Estaque, devant la rade de Marseille ( Florence !)





il me fait penser aux oiseaux photographiées par Jérôme, sur les iles Canaries :

https://colombestourterelles.forumactif.org/t4325-tourterelle-lors-d-un-voyage-aux-canaries

Marc

Puisque la Tourterelle Turque a colonisé pas mal de pays, serions nous en présence de la formation de sous-espèces ?

Je viens de tomber sur cette vidéo

Bonjour
La tourterelle turque a été introduite en Martinique.
Ses effectifs se sont multipliés.
Pour avoir récupéré et sauvé une dizaine de tourterelles turques écaillés comme sur la photo, elles ont toutes eues par la suite un plumage de phénotype sauvage.
Un patron typique de la tourterelle turque sauvage ainsi que le chant.

Colombicolement.

Bonjour,

Je voyais régulièrement des oiseaux "bruns" dans les années 70 du côté de Brest. La teinte rousse de la poitrine était remarquable et je me suis souvent demandé s'il 'agissait d'une "variété" ou d'une coloration liée à l'environnement.
La teinte rousse du cou de certains Cygnes chanteurs et le jaune de la poitrine des Canards pilets et Sarcelles d'hiver sont liés à leur fréquentation dans certaines eaux chargées en éléments particuliers. Il me semble que cette coloration est due à une réaction du plumage après croissance et non à l'ingestion d'éléments modifiant la plume en pousse.

À suivre...

Lorsque S. risoria s'échappe, il ne réussit pas aussi bien à survivre que S. decaocto. Cependant, ils s'accouplent facilement et volontairement avec des individus solitaires de S. decaocto et leur progéniture est 100% fertile.

Dans les générations suivantes, la sélection naturelle fait que l'apparence et le comportement de S. decaocto deviennent dominants à 99%, mais certains traits dérivés de S. risoria peuvent être génétiquement divisés dans les générations suivantes, telles que les aptitudes de dessin 'pied' ou "facteur d'éclaircissement". Une coloration plus claire semble être inoffensive et peut même offrir un avantage dans les régions arides, ce qui fait que ces individus sont plus fréquents dans le sud des États-Unis que dans le nord, ou plus souvent dans le sud de l'Europe qu'en Europe centrale et septentrionale.

Il semble que la prédisposition génétique pour la 'crested', qui est apparue pour la première fois en Thaïlande et s'est propagée chez S. risoria domestiqué dans le monde entier, peut également apparaître chez S. decaocto dans les zones où S. risoria s'échappe plus fréquemment de la captivité. Les traits récessifs restent dans le génome pendant très longtemps, voire pour toujours. Ce trait ne semble pas être nocif et est susceptible de se produire dans certaines zones similaires aux individus leucistes ou 'pied' de S. decaocto.